Xavier Azalbert, France-Soir
L'arnaque XXL des niches fiscales et de l'escrologie : Les racines d'une escroquerie institutionnalisée (Partie 1)
France-Soir, Pixabay
Chers lecteurs, l'été est le moment de réviser ses leçons, mais permettez-moi une piqûre de rappel – ou plutôt un « booster », comme ces injections Covid que certains, encore naïfs, croient salvatrices malgré les doutes sur leur efficacité. Aujourd'hui, je reviens sur un sujet brûlant : l'escrologie, ce mélange toxique d'écologie et d'escroquerie qui vide nos poches sous prétexte de nobles causes. Pourquoi ce rappel ? Parce que ces arnaques XXL, orchestrées par des élites nationales et européennes, coûtent des milliards aux contribuables et prospèrent grâce à des mécanismes juridiques tordus. Mais avant d'entrer dans le détail, parlons d'un phénomène inquiétant : l'explosion des cancers, notamment chez les jeunes, en 2025. L'Institut Gustave Roussy révèle une augmentation de 300 % des cas, avec des chiffres qui font peur. Pourtant, malgré ces alarmes, certains refusent d'envisager un lien possible avec les vaccinations massives de 2021-2022, préférant ignorer les questions qui fâchent. Cette incapacité, ou ce refus, à connecter les points est symptomatique d'une pollution informationnelle qui noie les faits sous des narratifs officiels.

Cette pollution informationnelle, au cœur de nos problématiques, est exacerbée par des médias traditionnels et des prétendus fact-checkers qui altèrent la qualité de l'information. Ces derniers, souvent subventionnés et liés à des intérêts privés, relayent des « vrais mensonges et fausses vérités », des standards de propagande nouveaux qui imposent à la population des narratifs biaisés permettant de la maintenir avec des représentations erronées de la réalité. Par exemple, la Russie est l'ennemi de la France, les vaccins covid sont surs et efficaces, les vaccins covid ont sauvés des vies alors qu'une dernière analyse semble dire qu'ils n'en auraient sauvé aucun ! Face à cette manipulation, j'avais proposé d'appliquer la loi du pollueur-payeur à l'information : ceux qui diffusent des faussetés ou détournent les faits pour servir des agendas cachés devraient en assumer les conséquences, financièrement et moralement. Car l'information, comme l'environnement, est un bien commun qu'il faut protéger. Comme le droit à la transparence et l'autonomie, ce ne sont pas de vains concepts sur lesquels les politiques communiquent tout en en détournant tant la signification que l'application.
Explosion de cancers chez les jeunes+300% en 2025 selon l'Institut Gustave Roussy. Dr Boilève oncologue :
"Les chiffres font peur. Dans 80% des cas, aucun facteur de risque connu. C'est inexpliqué".
Ah bon ! Vraiment ? Et si on demandait à un "complotiste" ? A mettre en… pic.twitter.com/H2VLt1ogK0
— John Galt 2 - ex jgalt485 (@2_galt40523) July 30, 2025
La vidéo ci-dessus, issue d'une discussion sur le cancer du pancréas en 2025 à l'Institut Gustave Roussy, illustre parfaitement cette urgence. Deux experts, en blouse blanche, discutent des défis et des avancées thérapeutiques, mais derrière leurs mots, on devine l'angoisse face à une épidémie silencieuse. Et si cette explosion des cancers était liée, ne serait-ce qu'en partie, à des décisions sanitaires passées ? La transparence, si souvent absente, est ici cruciale. Car l'escrologie ne se limite pas à l'écologie ou à l'économie : elle s'étend à la santé, à l'information, à nos vies mêmes.
Revenons maintenant à nos moutons : les « droits à polluer ». Entre 2008 et 2009, ces quotas carbone, vendus comme un outil écologique, ont surtout permis de détourner 5 milliards d'euros en Europe, dont 1,6 milliard pour la France, selon un rapport d'Europol. Dans certains pays, jusqu'à 90 % des transactions étaient frauduleuses ! Cette escroquerie, l'une des plus grandes de l'Histoire, repose sur la directive européenne 2003/87/CE, adoptée le 13 octobre 2003. Son nom – « droits à polluer » – était déjà un aveu : comment un texte censé protéger l'environnement pouvait-il légaliser la pollution contre paiement ?
Mais, comment une telle arnaque a-t-elle pu passer sous le radar ? En réalité, elle n'a échappé à personne au sommet. La réponse est troublante. La fraude repose sur la directive européenne 2003/87/CE, adoptée le 13 octobre 2003 par le Parlement et le Conseil européens, qui a créé ce système d'échange de quotas. Le nom même de ces « droits à polluer » était un aveu : comment un texte censé protéger l'environnement pouvait-il autoriser à polluer contre paiement ? Cette contradiction flagrante aurait dû alerter tout le monde. Les failles du système étaient si évidentes qu'elles semblent conçues pour permettre la fraude. Un tel degré d'aveuglement ou de bêtise doit s'analyser comme étant de la complicité. Involontaire, certes, mais sans laquelle toutefois l'escroquerie n'aurait pas pu intervenir.
Prenons un instant pour comprendre le mécanisme. Les entreprises achetaient des quotas carbone, souvent via des intermédiaires douteux, et profitaient de remboursements de TVA frauduleux. En France, tout dégrèvement fiscal supérieur à un million d'euros nécessite l'accord écrit du ministre de l'Économie et de son directeur de cabinet. Pour des milliards, comme ici, l'aval du Premier ministre, voire de l'Élysée, est requis. « Jurisprudence » Pierre Bérégovoy, « jurisprudence » Charles Hernu, « jurisprudence » Robert Boulin, etc. (1), ils sont légion les cas de suicides qui ont institutionnalisé cette règle qui interdit aux membres du gouvernement de prendre une initiative de cet acabit. Lorsque l'arnaque porte sur un montant à 8, 9 ou 10 chiffres (et a fortiori pour des sommes supérieures), tout agent de l'État qui s'y risque voit son espérance de vie réduite à néant. Ces cas tragiques de Pierre Bérégovoy, Charles Hernu rappellent une règle non écrite : au sommet de l'État, personne n'agit seul dans ce genre d'opérations. La fraude carbone n'était pas un accident : elle était inscrite dans le système, validée par des décideurs qui savaient.
Ce scandale, aussi choquant soit-il, n'est qu'un amuse-bouche comparé aux arnaques actuelles orchestrées au niveau européen, sous l'égide de la Commission européenne et de sa présidente, Ursula von der Leyen. Nous parlons ici de sommes à onze, douze, voire treize chiffres, financées par la dette publique ou par des niches fiscales qui détournent l'argent des contribuables vers les poches de quelques privilégiés. Pour comprendre l'ampleur de cette supercherie, il faut plonger dans les méandres de la dette publique et des institutions européennes. La dette publique française, par exemple, résulte en partie de la loi du 1er janvier 1973, qui a interdit à l'État de se financer directement auprès de la Banque de France, le forçant à emprunter sur les marchés financiers à des taux d'intérêt exorbitants. Ce mécanisme, que je détaillerai dans un prochain édito, est le socle de nombreuses escroqueries modernes.
Comment cela est-il possible ? Le Traité de Lisbonne lui en donne le droit. Oui. Le Traité que les parlementaires français réunis en congrès ont adopté en 2008, contre le « NON » exprimé par les Français lors du référendum de 2005. Ce traité permet au Président de la Commission européenne d'engager toute dépense qu'il veut, quel qu'en soit le montant, et sans que personne puisse aller contre. Le Parlement européen peut juste émettre un avis consultatif auquel, par définition, la Présidente de la Commission européenne peut passer outre. Quant aux chefs d'État et de Gouvernement, c'est seulement de manière officieuse qu'ils peuvent s'en offusquer. Et comme ils ont nommé Ursula von der Leyen Présidente de la Commission européenne pour qu'elle puisse procéder à ce genre d'escroqueries méga XXL au profit des banques qui les mettent en place à cet effet, les chefs d'État et les chefs de gouvernement, ceux-ci ne s'offusquent guère des décisions qui sont prises en ce sens par Ursula von der Leyen. Pour ne pas dire jamais. Et ne votent pas les motions de censure !
Prenons un autre exemple récent : le PfizerGate. En 2021, Ursula von der Leyen a négocié par SMS un contrat de 35 milliards d'euros avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, pour des vaccins Covid, sans mandat clair de la Commission. Ces SMS, mystérieusement disparus, sont toujours recherchés par le lobbyiste Frédéric Baldan et l'avocate Me Diane Protat. Un avis de recherche mondial traque ces messages, tandis que la Commission a été condamnée en première instance en 2024 pour son manque de transparence. Fait troublant : l'avocat de la Commission, chargé de défendre von der Leyen, a lui aussi « disparu » après cette condamnation. La transparence, si souvent vantée, n'est qu'une façade, une arnaque XXL de plus, soutenue par le Traité sur l'Union européenne (TUE). Ce texte, véritable machine à gaz, donne aux technocrates un pouvoir illimité pour agir sans rendre de comptes, au mépris des citoyens.
Sans oublier les subventions européennes : généralement présentées comme des aides à l'innovation ou à la transition écologique, elles finissent fréquemment dans des projets opaques, voire inexistants. Ces fonds, distribués via des niches fiscales ou des programmes mal contrôlés, permettent à des entreprises bien connectées de s'enrichir sans rendre de comptes.
Plus c'est gros, plus cela passe ! Voilà une autre illustration : les négociations sur les droits de douane entre von der Leyen et Donald Trump, en 2025. Face à la menace de tarifs douaniers américains, von der Leyen a cédé sur des engagements qui désavantagent les Européens, ouvrant grand les portes à des importations américaines au détriment de nos industries. On nous parle d'un marché de « 400 millions de consommateurs », mais l'Union européenne n'est pas un pays souverain : ce sont des citoyens, pas des consommateurs, qui subissent ces décisions. Cette capitulation illustre comment les technocrates bruxellois sacrifient nos intérêts pour plaire aux puissances étrangères, tout en nous faisant payer la facture.
Cette logique d'escrologie s'accompagne d'une discrimination criante. Pendant que les élites, donneurs de leçons autoproclamés, sillonnent le ciel en jets privés – émettant des tonnes de CO2 pour leurs sommets climatiques –, les citoyens ordinaires sont cloués au sol. On veut interdire les voitures thermiques aux « gueux », restreindre leur accès aux centres-villes avec des zones à faibles émissions, tout en laissant les riches polluer sans vergogne. Cette hypocrisie est le cœur du problème : des règles pour les pauvres, des passe-droits pour les puissants.
Mais, ces scandales ne sont rien face à celle que nous verrons dans la seconde partie. Prenons une pause pour digérer cette première leçon : quand l'écologie, la santé ou l'économie servent de prétexte, ce sont toujours les mêmes qui paient – et ce ne sont pas les jets privés.
1) on peut ajouter à cela la « jurisprudence » François de Grossouvre. Conseiller spécial et homme de confiance de François Mitterrand, chargé des « réseaux » et de la cellule de sécurité de l'Élysée, lui aussi est mort « suicidé » : il a été retrouvé sans vie dans son bureau, à l'Élysée, le 7 avril 1994, avec une balle dans la tête. C'est le premier « pharmaco-sceptique » français officiel de l'Histoire. Cumulativement réfractaire aux médicaments, et victime d'une migraine atroce qui le taraudait insupportablement depuis plusieurs jours, c'est à une balle en acier de 125 gr, et non pas à un cachet d'aspirine d'un demi-gramme (Dolipran 500mg), qu'il a eu recours pour que faire que cela cessât. C'est son arme de service qu'il a utilisée à cette funeste occasion. En l'occurrence un revolver Manurhin MR 73, calibre 357 Magnum : l'arme de service de la police française. C'est une arme « réputée pour sa puissance et sa précision » dixit Wikipédia. Mais bon, pas besoin d'être un tireur d'élite pour atteindre sa cible quand le pruneau est tiré à bout touchant. Et, enfin, bien qu'on n'est pas à pleine puissance quand on tire à bout touchant, c'est sûr, le résultat qu'on obtient auquel cas dans une boite crânienne humaine avec MR 73 calibre 357 Magnum, est totalement à l'opposé, j'imagine, « des p' tits trous » que dit faire Serge Gainsbourg, alias « Le Poinçonneur des Lilas », dans sa chanson éponyme :